Parapluies haut de gamme fabriqués en France.

« Un jour de mauvais temps,
Un jour de mauvais temps,
Un brusque coup de vent lui mit les pieds devant ;
On le laissa pour mort, dans quelque caniveau,
On le laissa pour mort avec le bec dans l’eau. »
Telle est, poétiquement mise en mots par Thomas Fersen, la fin cruelle d’un parapluie. Une fin, de nos jours, bien trop souvent prématurée…
Importé d’Asie à plus de 95%, le parapluie est le symbole de la société low cost et standardisée dans laquelle nous vivons. Ce qui s’y vend n’est pas fait pour durer, mais pour être remplacé, au plus vite. A ce rythme et à raison de quelques dizaines d’euros le pébroque, selon le modèle ou la marque, le porte-monnaie des importateurs et celui des vendeurs se remplissent rapidement. Aussi vite que les poubelles, qui débordent de produits hors d’usage et pourtant presque neufs.

Ekokosmos a choisi d’avancer face au vent et de lui résister. Les superbes modèles que cette nouvelle marque francilienne crée et commercialise sont tout sauf jetables. Mieux, les parapluies luxueux et made in France d’Ekokosmos sont réparables à vie *, par l’entreprise familiale qui les fabrique. Les tissus — doublés ou non — sont des créations d’artistes, déclinés en toutes petites séries ou en pièces uniques. Souvent colorés, ils figurent des animaux, des arbres ou des formes géométriques. Les trous de la couche d’ozone, par exemple. Ekokosmos est une marque engagée. Elle soutient ainsi l’association PMAF, pour la Protection mondiale des animaux de ferme. Elle nous rappelle que l’homme et la nature ne font qu’un. Certes, en achetant local, on préserve les savoir-faire et les emplois, on donne vie à l’économie de proximité. Mais en limitant les transports, les va-et-vient incessants des porte-conteneurs et le gaspillage d’énergie, on ménage aussi notre environnement. Une nature qui, arbres, singes ou éléphants, nous protège en retour. De la pluie…

* Contre une contribution de 15 euros, quelle que soit la réparation.