Dix mois d’attente, cinq jours d’utilisation… Qui dit mieux ? Flambant neuves, belles et élégantes dans leur robe noire unie, les deux « boîtes » de la Freebox Revolution n’ont pas eu le temps de s’acclimater à leur nouvelle maison. A peine arrivées, retour à l’envoyeur, pour cause d’afficheur hors d’usage. Un rapide appel à l’assistance technique nous apprend une chose : le cas n’est pas isolé, un numéro est même spécialement attribué aux afficheurs récalcitrants. On en serait presque à regretter sa vieille Freebox V5 made in Laval, avec son design vieillot et ses trois grandes antennes disgracieuses. Forcément, six années de bons et loyaux services sans anicroche — si ce n’est un bloc d’alimentation, déjà made in China —, ça crée des liens… Heureusement, le boîtier défectueux et son bel afficheur oled jaune a depuis été remplacé, en vingt-quatre heures chrono. Et pour l’instant, tout fonctionne…
Pas question ici de « se payer » Free, ce trouble-fête grâce auquel notre facture téléphone-Internet-télévision a été divisée par deux. Bientôt quatrième opérateur de l’Hexagone, Free est semble-t-il bien décidé à couper en deux également notre note de téléphone mobile, au grand dam des trois multinationales qui s’entendent à merveille pour se sucrer depuis depuis des années… Non, là n’est pas la question. On aurait simplement aimé que les Freebox, ces boîtes magiques qui nous relient au monde, soient encore fabriquées en France, comme avant…