© Renault

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Renault qui embauche en France ! Cela fait combien d’années que cela n’était pas arrivé ? Selon Les Echos, le groupe prévoit en effet de recruter 750 personnes en CDI et de mettre en place également un plan de d’intégration en apprentissage. Ce sang neuf est censé renforcer aussi bien les centres d’ingénierie que les sites de production hexagonaux.
L’année 2015 promet en effet d’être plus porteuse pour les usines françaises que ne l’ont été les années précédentes, grâce à l’arrivé de nouveaux modèles. Le site de Douai accueillera ainsi la l’Espace 5, puis la Laguna 4, tandis que Flins attend l’arrivée de la Nissan Micra. L’usine de Cléon monte pour sa part en puissance pour fournir les moteurs dont le groupe Daimler a besoin pour équiper certaines « petites » Mercedes. Quant au site de Sandouville, il profite depuis l’été dernier de la relocalisation de la production du Trafic, utilitaire qui était précédemment fabriqué en Espagne. L’usine normande assemble également certaines versions de l’Opel Vivaro et du Nissan Primastar, dérivés de ce même Trafic. Puis arrivera la dernière mouture du Scenic en 2016 et, qui sait ?, un nouveau modèle haut de gamme, voire une Alpine…
Bref, que des bonnes nouvelles. Malheureusement, elles ne suffisent pas à compenser le déclin de la production de Renault — mais aussi de PSA — en France, qui a été divisée par deux en moins de dix ans.

Pour savoir quels sont les véhicules Renault, mais aussi Citroën, DS et Peugeot qui sont fabriqués en France

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