© Petites Culottées.

Chaque mois, les femmes sont contraintes d’utiliser des protections synonymes, certes, de protection, mais aussi d’inconfort, parfois de risques d’infections. En marge des serviettes ou tampons, qui coûtent en moyenne 18 euros par mois, il leur faut parfois racheter des sous-vêtements, voire des vêtements tâchés. Selon une étude britannique, la dépense totale s’élèverait à plus 600 euros chaque année ; somme qui comprend il est vrai les friandises que les femmes consomment plus volontiers pendant leurs règles…
C’est pour limiter cette dépense et améliorer confort et tranquillité d’esprit qu’une jeune entrepreneuse normande à créé Petites Culottées, des petites culottes qui ressemblent à d’autres petites culottes, mais qui sont bien plus que cela. Si leur apparence les rapprochent de leurs cousines « classiques », leur composition spécifique « là où c’est important » les en distingue en effet. Leur fond constitué de trois fines couches superposées de tissus techniques et un assemblage « anti-fuite » leur permet de conjuguer le rôle de sous-vêtements élégants et confortables — coton bio certifié ŒkoTex, dentelle de Calais — et celui de protection periodique. Testée dans des conditions exigeantes, lors de compétitions équestres notamment, cette lingerie menstruelle est parfaitement efficace. Selon le modèle — culotte ou tanga —, la capacité d’absorption est équivalente à celles de deux ou de quatre tampons. Après usage, il suffit de rincer à l’eau froide, puis de laver à la main ou en machine et enfin de mettre à sécher à l’air libre. Disponibles en rouge et en noire, du 12-14 ans au 48, les Petites Culottées sont bien entendu fabriquées en France, dans le Nord.

Petites Culottées : culottes et tangas menstruels made in France