Masques anti-pollution développés par la start-up R-Pur et fabriqués intégralement en France.
© R-Pur

Qu’ils soient volontaires ou contraints, les cyclistes se multiplient en ce mois de décembre 2019, dans les villes comme ailleurs. Lorsque sonne l’heure des grèves dans les transports en commun, la bicyclette est en effet le plus sûr et fidèle allié de toutes celles et ceux qui se retrouvent coincés. Malheureusement, la pollution provoquée par les véhicules à pétrole s’ajoute aux risques de la circulation à vélo et complique la vie — quand elle ne la met pas en danger — des cyclistes.
Si R-Pur ne peut rien pour protéger les cyclistes contre les accidents de la circulation, elle peut beaucoup en revanche pour leur éviter de respirer les multiples polluants présents dans l’air des villes.


Dix fois plus efficace que la norme la plus stricte

Cette jeune pousse française a en effet développé plusieurs modèles de masques anti-pollution, à la fois efficaces et esthétiques, grâce auxquels respirer en ville devient, sinon plus agréable, du moins plus sûr. Selon l’entreprise, les résultats obtenus grâce au procédé de nano-filtration qu’elle a développé sont dix fois supérieurs — particules dix fois plus fines — à la norme européenne FFP3, pourtant la plus exigeante. Bref, les masques de R-Pur sont tout simplement ce qui se fait de mieux sur le marché.
Outre la technologie, l’entreprise soigne l’esthétique de ses produits. Ceux-ci ne sont pas, en effet, de simples objets utiles, mais disgracieux, qu’il faut se résoudre à porter comme l’étaient les premières générations de masques. Les créations R-Pur sont, en effet, très soignées et pourraient presque être assimilées à des accessoires de mode. Même si, précisément, ils sont tout sauf accessoires. Une deuxième version du masque, logiquement nommée Nano ® V2, est aujourd’hui disponible. Elle bénéficie d’améliorations et est encore plus efficace et confortable.

Schéma de la nano-filtration développée par R-Pur et utilisés sur les masques anti-pollution de la marque.
© R-Pur


Version pour cyclistes et joggeurs

Pensés à l’origine pour les utilisateurs de deux-roues motorisés, les masques anti-pollution R-Pur ont très vite été adoptés par les cyclistes et les adeptes du jogging. Lorsque l’on fait des efforts intenses, ce qui est le cas quand on pédale ou quand on court, les particules polluantes pénètrent facilement et profondément dans les poumons. Porter un masque permet d’éviter cela, ou tout au moins de diminuer considérablement ce risque.
Pour répondre aux besoins spécifiques de ces nouveaux utilisateurs, l’entreprise française a développé un nouveau modèle, baptisé Nano Light ®. Il dispose du même principe de filtration que la Nano One ®, mais il est plus léger et plus respirant. Il intègre en outre deux technologies supplémentaires : la Nano Light Ceramic ® et la Nano Light Reflective ®. La première offre une protection supplémentaire, contre l’abrasion en particulier, et diminue ainsi les risques de blessures au visage en cas de chute ; la seconde permet au cycliste d’être beaucoup plus visible de nuit.
En accompagnement des masques Nano V2 ® et Nano Light ®, R-Pur met à disposition de ses clients une application mobile qui leur donne des indications sur la pollution de l’air en temps réel. Elle leur permet aussi de connaître très précisément le niveau de filtration de leur masque. Les filtres ont en effet une durée de vie moyenne de cinq à quinze semaines d’utilisation quotidienne, selon les quantités de polluants filtrés. Il convient donc de les changer quand il est temps pour continuer à être efficacement protégés. Bien entendu, R-Pur commercialise également ces filtres, à l’unité ou en packs de trois et de cinq. Ces filtres sont, comme les masques et l’application mobile, développés et intégralement fabriqués en France.

R-Pur : masques anti-pollution made in France pour les utilisateurs de deux-roues et les joggeurs