Le problème avec la Bretagne, c’est que le soleil y est aussi redoutable qu’ailleurs, mais que l’on s’en aperçoit moins. Un petit voile nuageux, une légère brise et hop !, le soleil semble inoffensif.
À tel point que l’on redouble même d’efforts pour profiter de ses doux rayons réconfortants.
Erreur. Le soleil breton est très efficace et mérite que l’on s’en protège avec le plus grand soin. Histoire d’éviter coups de soleil — donc brûlures… — et insolations.

L’indispensable couvre-chef estival

Pour se protéger la tête, Jo Bigorneau, jeune marque bretonne spécialiste des tenues et accessoires de plage, commercialise une toute nouvelle casquette.
Proposée uniquement en bleu de Prusse, cette casquette de qualité n’a pas grand-chose de commun avec les produits de grande consommation que l’on peut se procurer dans « le commerce ».
Ainsi, le tour de tête est recouvert de mousse, qui absorbe la transpiration et assure un plus grand confort.
Une sangle à l’arrière permet, en outre, de parfaitement adapter la casquette au crâne de chacun. Quatre petites aérations, renforcées par des œillets métalliques, permettent également de réguler la température.

Les finitions des casquettes Jo Bigorneau assurent confort, aération et solidité. © Jo Bigorneau

Des casquettes de qualité, fabriquées en France

Car n’oublions pas qu’hiver comme été, c’est par la tête que la chaleur corporelle s’échappe en priorité. Faire en sorte que les échanges thermiques se fassent correctement dans la casquette est donc tout sauf inutile.
La casquette de Jo Bigorneau est fabriquée dans un sergé de coton. Il s’agit d’un tissu dont les fils sont entrecroisés, que l’on reconnaît notamment aux fines rayures diagonales qui le composent.
Lors de son tissage, les fils sont entrecroisés, un procédé qui permet d’offrir à la fois souplesse — donc confort — et résistance. Une casquette Jo Bigorneau est par conséquent fabriquée pour durer. Tout au bleu son joli bleu passera-t-il au soleil, ce qui peut être du plus bel effet.
Pour la fabrication de ses casquettes, l’entreprise bretonne fait appel à un petit atelier implanté près de Nantes, à Clisson. D’aucuns diraient en Bretagne donc. D’autres non…

Nouveaux t-shirts pour homme et femme

Autre nouveau de printemps : un nouveau t-shirt, lui aussi à connotation solaire. Baptisé Sunny, en hommage à la chanson de Boney M des années 1970, ce t-shirt est disponible en trois couleurs : marine, violet et reine-claude.
Il est confectionné dans un coton certifié Oeko-Tex de 150gr/m² et sa coupe, légèrement ajustée, lui permet de s’adapter à la morphologie au plus grand nombre, hommes comme femmes.
Comme toujours chez Jo Bigorneau, les détails — eh, oui !, même un t-shirt en a — sont particulièrement soignés, même s’ils ne sont pas faits pour se voir.
Une bande de propreté, cousue à l’intérieur du col, permet de protéger et de renforcer ledit col. Toutes les coutures sont en outre réalisées en double aiguille, une technique qui assure une plus grande solidité au t-shirt.

Short de bain, t-shirt et casquette made in France Jo Bigorneau. Tout ce qu’il faut pour se sentir bien sur la plage. © Jo Bigorenau

Dessinés en Bretagne, confectionnés dans l’Aube

Et puis il y a bien sûr le motif qui décore le t-shirt, en l’occurrence un soleil couchant — Sunny oblige… —, deux palmiers, des lignes, des courbes et de mots. Le tout dessiné par un des fondateurs de la marque.
Côté confection, on s’éloigne cette fois de la Bretagne, mais pas trop. C’est en effet un atelier implanté dans l’Aube qui est responsable de sa fabrication.
Parce que s’il y a une chose sur laquelle le Bigorneau ne transige pas, c’est bien la fabrication locale, française, de chacune de ses créations.
Petit cadeau du Bigorneau pour la fête de Pères : 10 % de remise jusqu’au 20 juin, grâce au code FETEPAPA. Et les frais d’envoi sont offert à partir de 80 euros d’achat.

Jo Bigorneau : vêtements et accessoires de plage fabriqués en France