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Si l’on en juge par les propos de la « société civile », comme on l’appelle, le somment de l’ONU Rio + 20, qui se tient en ce moment au Brésil, est d’une affligeante nullité… Rien ou presque n’y est concrètement décidé, aucune décision n’y est prise. Ce énième grand raout écolo-compatible a néanmoins permis de se remémorer certains faits et chiffres. Ainsi, comme l’a souligné Rafael Correa, le président équatorien, que « les 20% de pays les plus riches génèrent 60% des émissions de gaz à effet de serre, tandis que les 20% les plus pauvres en génèrent 0,72% ». Ou comment les riches détruisent la planète*…
En matière de sauvegarde de l’environnement comme de consommation ou de mode vie, c’est à chacun de faire « sa part », à son niveau. Si ensuite la « lumière » vient des sommets, tant mieux… Et que faisons-nous par exemple contre la pollution atmosphérique ? Pourtant, le doute n’est plus permis quant aux dégâts provoqués par les gaz d’échappement. Il suffit d’ailleurs de vivre en ville et d’avoir dans son entourage une personne asthmatique — elles sont de plus en plus nombreuses — pour en témoigner.
Laissons de côté toutes celles et ceux qui n’ont d’autres choix que de prendre leur véhicule pour se rendre au travail, faire leurs courses ou passer prendre leurs enfants l’école. Pour beaucoup, la voiture n’est d’ailleurs pas un choix, mais une obligation.
Mais tous les autres ? Tous ceux qui vivent dans de grandes agglomérations ? Celles et ceux qui sont en suffisamment bonne santé pour se passer de l’assistance systématique d’un moteur pour se déplacer ?

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Selon les villes, les habitants ont à leur disposition le métro, le bus, le tramway, le taxi, le vélo — personnel ou en libre-service —, voire la voiture électrique comme à Paris, le covoiturage, etc. Sans oublier leurs jambes… Et malgré ce choix pléthorique, en dépit de tout ce confort citadin, les voitures continuent de congestionner les rues, d’empoisonner les poumons et de casser les oreilles.
La promiscuité dans les transports en commun n’est pas toujours agréable. D’accord. Les intempéries quand on circule à pied ou à vélo pas davantage. Encore d’accord. Mais que penser des bouchons à répétition, des heures passées à ne pas avancer, à pester contre tous ceux qui ont choisi, eux aussi, de griller inutilement un carburant de plus en plus rare et cher ? Et que dire des joies du stationnement ? Tourner, retourner, retourner encore dans les rues avant de réussir à garer sa précieuse machine sur quelques malheureux mètres carrés de bitume. Et payer pour cela.
Pendant tous ces tours incessants de « pâtés de maisons », les piétons, cyclistes, nourrissons en poussettes ou attablés de terrasses de café respirent, impuissants, les vapeurs de cet incroyable gâchis.
Régulièrement, il faut d’ailleurs quitter la ville et gagner la montagne, la campagne ou la mer, pour trouver un peu d’air pur et d’espace. Pour cela il y a le chemin de fer. C’est bien le train : on peut lire, discuter, lier connaissances ou piquer un petit somme, sans que cela retarde le moins du monde l’heure d’arrivée à destination. Mais les voyages en train peuvent être parfois pénibles, et au demeurant fort coûteux, si l’on transhume à cinq ou six personnes avec force bagages, poussettes ou vélos.
Heureusement, il y a la voiture… Ce n’est pas parce qu’elle est une hérésie en ville et au quotidien qu’elle n’a pas son utilité ailleurs, à certaines occasions. Et en location.

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Quel plaisir en effet de conduire à chaque sortie un nouveau bolide, flambant neuf et suréquipé. Le choisir spacieux et confortable pour les voyages au long-cours des grandes vacances. Le préférer plus petit le temps d’un week-end ou pour une virée nocturne. Et ne plus se soucier ni d’assurance, ni de stationnement, ni d’entretien, ni de réparations. Oubliées les mensualités qu’il faut honorer chaque mois ; finie l’immobilisation de quelques milliers d’euros qui se déprécient chaque jour pour finalement ne plus rien valoir, ou presque.
D’ailleurs, les constructeurs automobiles eux-mêmes ne s’y trompent pas, qui développent leur propre solution de location de véhicules. Le groupe PSA a par exemple créé Mu by Peugeot — ça fait tout de suite plus pro et sérieux quand on ajoute un petit mot anglais… —, qui permet de réserver sa voiture, son scooter ou son vélo directement sur Internet. Un bon moyen de rouler made in France sans polluer plus que de raison ni dépenser inutilement son argent.
Et puis on peut toujours mixer les modes de locomotion : d’abord le train, puis le bateau et enfin, une fois arrivés à bon port, la voiture.
Grâce à Internet et aux comparateurs en ligne, il n’a jamais été aussi simple d’opter pour 
la location de voiture. Un voyage sur l’île de Beauté ? Il suffit de saisir « location voiture Corse » pour trouver le tarif plus intéressant pour le véhicule idéal. Celui qui, le temps des vacances, permettra de flâner le long des plages et de grimper les cols de montagne.

 * Comment les riches détruisent la planète est le titre d’un livre du journaliste Hervé Kempf.